Qu’est c’qu’on met là-dedans ?
– 3 œufs
– 75 gr de sucre en poudre
– 90 gr de beurre
– 95 gr de farine
– 4 cl de jus de citrons verts
– 32 cl de lait
– 1 mangue
– Sel
Comment qu’on fait ça ?
– Préchauffez le four à 150° C.
– Séparez les blancs des jaunes. Fouettez les jaunes avec le sucre jusqu’à ce que le mélange blanchisse. Faites fondre le beurre et incorporez-le à la préparation. Ajouter ensuite la farine et le sel. Fouettez encore quelques minutes. Versez le lait petit à petit, sans cesser de fouetter.
– Coupez les citrons verts en deux et pressez-en le jus dans un chinois, au-dessus d’un bol. Versez ce jus dans la préparation. Montez les blancs en neige et à l’aide d’un fouet, incorporez-les à la pâte.
– Épluchez la mangue. Réservez-en un quart pour la décoration puis découpez le reste de la chair en petits dés. Dispersez les dés dans un moule à tarte beurré, de diamètre moyen. Versez la préparation dessus puis lissez avec la lame d’un couteau. Enfournez 50 minutes.
– A la sortie du four, le gâteau est légèrement tremblotant.
– Avant de le démouler, laissez-le au minimum 2 heures au réfrigérateur afin qu’il fige. Servez frais !
– Petit « plus » : faites un glaçage avec 100 gr de chocolat blanc fondu et 5 cl de crème liquide entière au bain-marie et une pointe de colorant orange. Décorez le gâteau de lamelles de mangue du quart réservé auparavant.
Source : « Le gâteau magique » – Éditions « les petits plats Marabout« , Christelle Huet-Gomez – recette issue et adaptée partiellement de « Saint-Valentin mangue-passion« .
Heu…excusez-moi siouplai’ mais…
– Premier gâteau magique oblige, j’ai fait l’erreur de choisir un plat à tarte de diamètre un peu trop large : même si les trois couches sont bien là (génoise, le crémeux et la texture « flan ») pour mieux les distinguer il faut faire cuire l’ensemble soit dans un moule à quatre-quarts (cake) soit un plat à tarte « moyen » comme je l’ai indiqué un peu plus haut donc inférieur, par exemple, à celui que j’ai mis en photo (oui ça parait idiot de le dire mais dans le feu de l’action on n’y pense… qu’après, une fois le gâteau enfourné 
arf !) ;-) !